Aya Heaven Star nationnale
Messages : 934 Date d'inscription : 07/07/2009 Age : 32 Localisation : Toulouse
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| Sujet: Re: Flood Dim 21 Fév - 19:36 | |
| Et ben, j'ai donné le texte à Sakura (qui avait oublié qu'elle voulait me le corriger ) puis à l'instigateur du concour (je ne sais plus qui c'était...) et pour les résultats... ceux ci restent jusqu'à présent inconnus pour moi... Voici le texte, un fanfic selon les critères (enfin j'espère) sur Basil détective privé. La fin est un peu courte car cela prenait trop de place et pouvait être pénalisant.... Si il vous plait, je peut toujours l'enrichir ! - Spoiler:
Je me dirigeais vers un fiacre pour demander l'adresse d'un hôtel ou d'une chambre d'hôte où loger. Délicate entreprise à Londres pour le docteur fraichement débarqué que j'étais alors. Moi, le docteur Yukihito Yashiro anciennement docteur du sixième régiment royale basé en Afganistan n'imaginait pas l'extraordinaire aventure que je m'apprêtait à vivre. Je traversais une rue à peine éclairer lorsque j'entendit les plus déchirant des sanglots pouvant exister: ceux d'une petite fille. Me dirigeant jusqu'à la source des gémissements, je découvris une petite fille au visage le plus angélique qui soit. Le fillette disait s'appeler Maria Takarada et me raconta par le menu l'enlèvement de son père par la plus affreuse crapule existant sur cette terre. Il lui semblait donc vital de retrouver le célèbre détective résidant au 10 Beker Street inséssament sous peu; de sorte qu'elle puisse un jour revoir la seule famille lui restant. Me refusant à laisser cette jeune lady dans la sitution lamentable qu'était la sienne, je décidais de l'accompagner à la dites adresse où le détective prendrait alors certainement la relève. Arrivés au but de notre pélerinage, nous fumes accueillis par une éttonante créature qui devait certainement être la gouvernante. La charmante demoiselle paraissait être un savant mélange de gentillesse, de naïveté et d'un caractère colérique, désabusé. Le doute m'assaillant sur l'identité du maître des lieux et la possibilité de s'être tromper d'adresse; aussi je demandais confirmation à la jeune fille: "-Oui oui, ne vous inquiétez pas, Mr Kuu Hizuri réside bien ici."m'assura-t-elle "plus mon plus grand malheur" "-Plait-il?" l'interrogeais-je. "-Oh, je ne vais pas vous ennuyer avec cela, se serait mal venu de ma part. Toujours est-il qu'il n'est pas là pour l'instant, mais il ne saurait tarder. Si vous voulez bien l'attendre ici; je vais vous préparer du thé. A propos, je me nomme Kyoko Mogami, à votre service" fit-elle dans une révérence des plus élégante. "-C'est n'est pas moi, mais cette demoiselle qui souhaite recourir à ses services..." expliquai-je en désignant Maria. Mais à peine je finis que la ¨dite Kyoko se mit à pousser le plus étonnant, en de nombreux points, hurlement qu'il m'est était donné d'entendre. Ce n'est que quelque minutes plus tard qu'elleretrouva assez d'empire sur elle-même pour être capable d'articuler des mots intelligibles. Voici ce qu'elle dit: "MONDIEUMONDIEUMONDIEU MAIS TU ES TREMPEE! MA PAUVRE PETITE CHERIE! Mais, tu vas attrapper froid, viens, approche toi près du feu. Mais a-t-on idée de laisser une enfant au beau milieu de la nuit dans cette état-là?! Ne t' inquiétes pas, je vais préparé du thé bien chaud avec des gateaux." Quant elle revint, elle avait encore reprit suffisamment d'empire pour cette fois-ci nous parler de son maître; il en ressortait que c'était un très bon maitre, extrêmement professionel et précautioneux, mais que personne ne lui avait jamais donné plus de travail que lui. Il semblait en effet, qu'en plus d'être le plus gros mangeur que la terre est jamais porté, il possédait une conception de l'ordre tout à fait personnelle et partagée par nul autre. La poussière étant, d'après lui, un élément indispensable de sa classification. La maison était en effet passablement en désordre malgrès quelques efforts notoires de la gouvernante concernant le rangement. Kyoko repartit donc à la cuisine pour préparer la collation de son maître à son retour d'une de ses excursions, c'est-à-dire une tarte aux pommes, une douzaine de muffins, de la brioche, une trentaine de sablés, une cinquantaine de madeleines une vingtaine de tartines au beurre et à la confiture... Lorsqu'elle entendit du brouhara provenant du salon, elle ne s'en étonna guère: son maitre était bruyant. Néanmoins, le coup de feu tonitruant et l'avalanche de plumes provenant du salon réussirent à la sortir de sa cuisne. Le spectacle apocaliptique du salon enseveli sous une masse de plumes suffis très largement à la mettre en rage. Les démons vengeurs s'échappèrent de son corps ajoutant au désordre le plus complet. Jurant vengeance elle retourna à la cuisine après s'être engager dans la plus féroce dispute avec son maître que le docteur Yashiro pu voir de sa vie. Mais le ravissant chapeau que le détective lui offrit peu après suffi à faire disparaître toute la colère chez la domestique qui, aussi douce qu'un agneau s'excusait et le remerciait avec véhémence tout en repartant dans la cuisine. Si ce coup d'éclat ne l'aida en aucune façon à ranger le salon, il lui assura l'admiration et l'affection la plus complète de Maria.
Le lendemain matin, Kyoko faisait son marché dans l'après-midi. Toutes rancoeurs pour Kuu totalement envolées; après tout, comment en vouloir à un homme offrant de si beaux cadeaux! D'après ce qu'elle avait pu comprendre de ce qui c'était dit la veille, le détective, sa cliente et leur compagnon recherchait l'abominable être ayant osé capturé le père de la petite; et, qui, semble-t-il, était un sbire de l'exécrable, du haïssable, du démoniaque «Ratigane»! Baron du crime et ennemi juré de Kuu Hizuri, Ratigane était bien sûr un nom de code! Pour le tout Londre, il possédait une toute autre identité. Mais Kuu le connaissait depuis longtemps et savait qui ce cachait derrière cette respectable façade. De plus, l'igénieux détective avait aparement quelques griefs personnels et tout particulier contre ce bien peu recommandable personnage. Son intérêt pour l'enquête ainsi décuplé, il était parti pour une excursion dans la soirée avec les deux autres. Les deux hommes n'étaient revenus qu'au petit matin bredouilles et sans la gamine! Kyoko était folle d'inquiétude pour l'enfant et trouvait le comportement de son maître fort peu responsable. La domestique était partagée entre cette terrible inquiétude et sa curiosité, et, le dégout que lui inspirait la seule personne capable de la renseigner sur ce qui c'était passé la veille. Son nom de code: Tobby, un indique du patron qui avait plus de flair pour trouver des infos que n'importe qui d'autre en Angleterre. Elle sentait déjà la colère monter à la seule pensée de devoir adresser la parole à cet (censuré) et aller même jusqu'à le chercher pour cela. Tâche qu'elle n'eut pas à accomplir car le dit personnage se trouvant derrière elle. Elle pu, une fois la frayeur et la colère passées, questionner Reino (son vrai nom), sans plus de concidération pour son interlocuteur que cela. Il expliqua avoir amené ses trois passagés jusqu'à un magasin de jouets où avait était vu le kidnapper-de-papa peu de temps auparavant. Tous y était allés mais seuls les deux hommes étaient revenus sans avoir plus avancés dans leur enquête, le mystère s'étant au contraire épaissis. "-Espèce de sale beaggle! C'est tout ce que tu as à me dire!" s'étrangla Kyoko. "-Peut-être qu'un rendez-vous (en français dans le texte) me raffraichirait la mémoire, disons ce soir à 9 heures..." "-Tout ce que tu auras, c'est ma main sur ta..." Mais Kyoko n'eu pas le temp de finir car un petit garçon lui vola son précieux chapeau. Ne se laissant pas pas faire, Kyoko lui courut après. Reino resta stoïque, un léger sourire se déssinant sur ses lèvres. Un jour, c'est sûr, Kyoko sera à lui!
Mais Kyoko avait maintenant d'autres chats à fouetter que ce satané beaggle inutile, il était tard, elle aurait dut rentrée depuis longtemps déjà. Et cet affreux gamin sembla être infatigable et l'amena dans des quartiers forts peu fréquentables de Londres. Il entra finalement dans un tripot de marins près des docks. Ne pouvant se résoudre à y laisser son chapeau, Kyoko se résolu à entrer. Dedans, l'odeur de crasse, de tabac mais surtout d'alcool dégageait une puanteur peu commune et surtout à peine supportable. La jeune fille, qui détonnait franchement dans ce décor, chercha du regard le petit voleur qu'elle n'eut aucun mal à retrouver puisqu'il occupait, à sa grande surprise, le poste de barman. Pendant ce temps, trois danseuses de french cancan finissait leur numéros et retenait l'attention de leur oditoire d'ivrogne; ainsi, Kyoko passa quasiment inaperçue dans l'assemblée. La chanson, "Laisser-moi vous gâter" (véridique, c'est vraiment une chanson de disney, quand j'ai revu ce passage, bien des années après, j'ai était choquée!) semblait en effet très apréciée par la clientèle. Un marin réussi même l'exploit de se hisser sur l'estrade pour danser avec les petites poulettes. Kyoko n'eut aucun mal à le reconnaître puisqu'il s' agissait du docteur Yashiro déguisé en marin. Ne comprenant pas ce qu'il faisait là, elle eu la plus grande stupéfaction de voir son maître dans un accoutrement semblable se hisser à son tour pour récupérer son compagnon. N'oubliant pas le but de sa quête, elle se dirigea vers le bar. Mais, une bataille éclata et dans la cohue, elle se prit un pain dans la figure et s'évanouit. Quand elle reprit connaissance un jeune homme lui mettait de la glace sur l'oeil, pour "qu'il ne soit pas au beurre noir". Le pianiste ne bougeait pas le petit doigt alors qu'il n'avait pas grand chose. Une des serveuse était même au petit soin pour lui. L'une des danseuse assurait à qui voulait l'entendre que c'était un scandale, vraiment, c'était un scandale. Quand elle demanda à être présentée au personnel, tous s' éxecutèrent. Kyoko apprit ainsi que le pianiste était Sho, la serveuse qui le soignait Mimoru, la danseuse qui continuait à répéter que s'était un scandale se nommait Kanaé, le petit barman qui n'avait d'yeux que pour elle: Uesugi et l'homme soignant Kyoko se nommait Ren, il ne travaillait pas dans le bar mais pour quelqu'un d'autre... Sans comprendre réellement pourquoi et comment, tout se beau monde se retrouva à suivre Ren dans un couloir secret en dessous du tripot: Kyoko désirait retrouver son maiîre pour lui passer un savon; car on ne se promène pas dans ce genre d'endroit quand on a perdu une fillette la veille. Ren devait faire une course pour son patron. Il l'aurait fait tout seul si Sho n'avait pas été là. En effet, Ren ne voulait le laisser avec Kyoko. Sho, évidemment, pour embetter tout le monde, venait aussi. Mimoru ne l'aurait jamais laisser donc elle venait aussi. Kanaé suivait le mouvement tout en assurant que c'était un scandale! Uesugi ne serait jamais aller nul part sans elle. Tous s' enfonsèrent à la suite de Ren dans les profondeurs londoniennes. Quand enfin, ils débouchèrent sur une grande place souterraine qui se révéla être le repère de l'infâme "Ratigane". Au milieu d'une foule de criminels, se trouvaient, bien déconfits, le docteur Yashiro et le détective Hizuri. Maria était elle aussi ligotée. Son père se tenait à coté d'elle, l'air d'un homme qui allait qu'il devait faire quelque chose de particulièrement affreux. Quand soudain, toutes lumières furent éteintes! Des projecteurs se dirigèrent vers un coin de la pièce, et une main, suivis d'un bras, sorti d'un rideau de velours rouge. Lory Takarada apparu, à la stupéfaction de tous, sauf des brigands et de Ren. Ce dernier se dirigea vers Lory lui assurant que tout était fin près. Lory se tourna vers son public (Kyoko, Kanaé, Sho, Mimoru, Uesugi) stupéfait commença sa litanie: Lui, le grand Lory Takarada n'aurait bientôt plus besoin de pseudo ridicule pour continuer ses agissements criminels. Bientôt, la reine allait lui donné les pleins pouvoirs! Il deviendrait le maître incontesté de l'Angleterre! "Même vous, Kuu Hizuri, vous êtes finis! Vous ne pourrez plus rien contre moi!!! J'ai déjà pris votre cher fils! Allons, regardez-vous, vous êtes finis! A la masse!"Kuu, de plus en plus découragé "Bientôt, l'Angleterre ne sera plus qu'un pays d'amour, et tous se qui seront contre cela seront emprisonnés! Mouhahaha!" Kuu regarde Ren d'un regard désespéré" Kuon, je t'en pris, tu ne veux pas ça! Aide-nous Kuon! Sauvons la couronne". Kyoko, et tout le reste de la bande: Kuon?! Mais c'est quoi cette histoire?! Ren regardait Lory, puis hocha la tête, Kyoko n'en croyait pas ses yeux. Ainsi, il s'alliait à cet être prodigieusement abominable! Kuon, désolé, lui répondit qu'il n'était peut être pas aussi bien qu'elle le croyait. Non, impossible, Ren ne peut pas être à la solde de Lory. Mais déjà tous se faisait ligoter. «Mais c'est un scandale, ne me touchez pas bande de mal-autrus» criait Kanaé, mais comme elle était trop bruyante, elle fut baillonée aussi. Sho se batti, mais tout se qu'il réussit à faire, ce fut d'assomer Mimoru! Puis, lesemployés de la LME partirent à la suite de Lory,de Kuon et du père de Maria, ligoté.. Ce qui se produisit ensuite fut très rapide. Kuu, désolait se plaignait. Mais, le docteur réussit à lui faire retrouver sa confiance en soin alors même que le piège qui devait conduire à leur mort se refermait sur eux. Mais avce ingénuosité, Kuu réussit à libérer tout le monde en faisant capoter le piège in extrémis. Mimoru etant toujours dans les vappes, elle resta là. Sho, étant lourd, resta là lui aussi. Kanaé, une fois libérée assurant que c'était un scandale et qu'elle ne bougerait pas d'ici. Du coup, elle fut abandonnée avec Uesugi pour veiller sur elle.
Le petit groupe formé de Kuu, Yahiro, Maria et Kyoko parti donc sur les traces de Lory pour retrouver Kuon, le père de Maria et accessoirement sauver la couronne. Tout le monde prit donc un fiacre pour Buckigam Palace où ils réussirent à s'infiltrer avec succés. Là, la route de Kyoko se sépara du reste du groupe. Les joues rouges d'exitation, elle virvolte, tourne, gambade dans les couloirs. Elle s'extase devant la moindre babiole et entre dans ses fantasmes de princes, de princesses, de contes de fées ect... Pendant ce temp, la reine Victoria, ligotée comme un saucisson passe juste derrière elle portée par les employés de la LME, mais Kyoko ne remarque rien toute à ses rêves. Ren, par contre la remarque et lui demande ce qu'elle fait là. Kyoko s'excuse, encore toute rouge. Puis elle lui demande pourquoi il fait tout çà. Pas de réponse. Kyoko, les larmes aux yeux, assure qu'il vaut mieux que çà et le supllie d'arrêter. Si Kuon n'avait pas vu Kyoko et ne lui avait pas parlé, il serait, comme les autres, revenu sur ses pas après s'être occupé de la reine. Ils aurait alors vu son père donner une raclé aux employés de la LME et libérer le père de Maria. Ils aurait aussi vu l'automate de la reine donner une gifle à Lory. Il aurait admirer Lory, fou de rage se battre contre Kuu. Mais de tout cela il ne vit rien. Par contre, un quart d'heure après tout ces rebondissements, c'est Yashiro qui vit Kuon, la bouche et les bras particulièrement bien occupés avec Kyoko. On ne peut imaginé la réaction du pauvre docteur, qui, ce jour-là, failli bien avoir une syncope devant tant de déboche.
Finalement, tout fut bien qui finissa bien! Maria retrouva son père, et, après tout, c'est tout ce qui comptait à ses yeux d'enfants. Quant à moi, je décidais de rester auprès du célèbre détective Kuu Hizuri résidant donc avec lui au 10 Beker Street dans l'espoir de connaître encore bien d'autres aventures toutes aussi intéressantes que celle-ci. Espoir qui ne fut pas déçu, bien au contraire. La bien-aimée reine d'Angleterre contiunua encore à régner bien des années après cet incident. Dans sa grande sagesse, elle fit garder un oeil sur Lory et l'expédia en Australie avec tous les brigands de son espèces pour qu'ils ne représentent plus de danger pour la couronne. Son intuition extraordinaire en fit l'une des plus grande fortune du pays et le plus important propriétaire terriens; mais il ne pu jamais revenir à la métropole. Il se contenta donc de laisser libre court à son exentricité et à sa fantaisie sur ses terres australiennes. Le fils de mon ami, Kuon, ne put rester en Angleterre pour des raisons bien compréhensibles concernant ses agissements forts répréhensibles sur le territoire. Mais, c'est surtout son caractère et son coeur aventureux (bien semblable à celui de son père) qui motiva réellement sa décision de partir pour les Indes Anglaises. La reine, par amitié pour le père et le fils, l'ayant pardonné de son inconduite. Kyoko choisis de partir auprès de celui qui se faisait appeler Ren car elle était pérsuadée de ne pouvoir former un couple plus harmonieux que celui avec Kuon. Sûre que sa décision était la meilleure, elle n'hésita pas une seconde à embarquer avec lui. Certain qu'elle ne pouvait qu'avoir une merveilleuse influence sur son fils, et aussi le soustraire à celle du démoniaque Lory, Kuu eut l'immense satisfaction de savoir que la prochaine fois qu'il verrait la jeune femme, ce ne serait plus en tant que domestique mais en tant que belle-fille. De fait, le couple vivat dans toute la félicité et tout le confort matériel qu'il pouvait souhaiter, et même bien au delà. Les relations entre le père et le fils s'apaisèrent d'elle même, et ils revinrent souvent voir Kuu. Kanaé réalisa son rêve et devint une célèbrité que le tout Londres se disputait. Il eut été surrement préférable que ses mauvais penchants se calmèrent, mais alors, se n'aurait plus été Kanaé, et Uesugi aurait été certainement très déçu. Le petit barman prit à tâche de devenir un homme digne d'elle! Il parti pour les Etats-Unis d'Amérique et y fit fortune grâce à de prodigieuses revues sur Broadway. Kanaé travailla plusieurs fois avec lui. Mais qu'il n'osa se déclarer qu'après plusieurs longs mois. Mimoru continua à être au petit soin pour Sho. Mais il faut croire qu'il était dans le caractère du jeune homme de ne jamais se satisfaire de ce qu'il avait; et de regretter amèrement ce qu'il avait perdu. Sho continua à jouer du piano. Regrettant d'avoir laisser s'échapper la seule femme capable à ses yeux de le comprendre et comprenant combien Kyoko pouvait lui être chère, il ne prit jamais vraiment conscience de l'affection que Mimoru lui portait. Il écrivit de si belles chansons qu'il est indubitable que l'histoire retiendrait son nom au même titre que Baudelaire ou Rimbault. Reino continua à informer Kuu lors de ses enquêtes. Il fut bien attrister de voir Kyoko partir avec Ren mais se consola vite en voyant grandir la jeune Maria. Cette dernière devenant une jeune femme extrêmement prométeuse dans son genre. L'histoire ne dira pas si elle fut à la hauteur tous les espoirs du beaggle et récompensa sa patience. Je penx certifier qu'il arriva à la petite de rendre visite à son grand père régulièrement et qu'elle accompagner par un garde du corp plutôt etonant qui, dit-on, s'appelait Reino.
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